Discussion:Bolivie

J'ajouterai:
Ce que vous pourrez aimer: les ambiances des marchés,pleins de vie, d'odeurs et de couleurs.
                            les échanges faciles et interessants avec les enfants curieux à la sortie des écoles.
Hébergement: si on n'est pas loin d'habitations, on trouve presque toujours quelqu'un à qui demander si on peut mettre la tente pour une nuit.
             Dans tous les pueblitos il y a des écoles, des centre de Salud et l'on peut demander un abri pour une nuit. (On a parfois piqué la tente à l'intérieur d'un local mis à notre disposition pour ne pas avoir froid).

  Réchaud: il est plus simple d'utiliser l'essence que l'on trouve partout.
         

Je propose d'enlever car je trouve cela méprisant de plus je ne suis pas d'accord :

  Ne pas aimer: la population des plateaux taciturne! 
                la nourriture: c'est vraiment caricatural!

Ma rédaction: Nous sommes rentrés par un petit poste frontière avec l'Argentine au sud est de la Bolivie, secteur des yungas méridionales. Très peu de passage, douaniers pas habitués au touristes en vélo, l'immigration bolivienne ne veut pas nous donner plus de 30 jours, il faudra passer dans 30 jours dans une ville avec un service immigration pour prolonger.

Yungas: zone de cultures (beaucoup de canne à sucre) à la végétation luxuriante bananiers, citronniers, orangers

       On y voit des toucans!
       On se fait dévorer par des micro moustiques: les sanculos (zone chaude et humide)qui disparaissent au dessus de 1000m d'altitude

Ville de Tarija: un warmshower, John a maintenant chez lui un verre CCI. On quitte par la route des vins direction Potosi

De Tarija à Potosi: Beaucoup de toboggans, 354km, 6250m de positif.Pas mal de zones habitées. Beaucoup d'élevage. C'est la pampa comme en Argentine. Arrivée à Potossi par le Sud: un col à 4300m puis l'Altiplano transformé lors de notre passage (octobre 2015) une déchetterie à l'air libre! horrible. Potossi, ville historique minière de la montagne d'argent, chargée des luttes sociales, longues grèves de mineurs...

         Casa de la moneda,couvent Santa Teresa.

De Potossi à Sucre par Milares: les "Vallées des ruisseaux" donc succession de montées descentes. Sucre: ville coloniale reposante. La population n'est pas la même qu'à Potosi! Musée national ethnographique, Casa de la Libertad, musée Charcas. Non loin le Marché de Tarabucco vaut le détour.

Sucre RavelloOn nous dit qu'il y a beaucoup de travaux, qu'on ne pourra pas passer, qu'il faut repartir par Potossi. Nous sommes passés mais en parti dans un camion. La route doit maintenant être goudronnée et plus simple.

vers Uyuni Orurosecteur industriel que l'on peut éviter. (Nous devions aller à l'immigration pour prolonger notre autorisation de séjour en Bolivie.) 'Quillacas, Jahocota, Salinas de Gerci Mendoza' (capital de la Quinoa Real), Jirija. Itinéraire très chouette sur l'altiplano. Superbes couleurs, maisons en adobe, églises typiques de ce secteur, troupeaux de lamas, de vigognes... Salar D'Uyuni Le volcan Tupuna est superbe. On nous a dit, sur le salar, "vous suivrez la route noire". C'est bien cela, la route des 4x4. Au loin, un point prend la forme d'un panneau indicateur, puis celle d'une île: l'Isla Incahuasi. Seuls les touristes à vélo et les personnes qui y travaillent peuvent y rester une nuit (ne pas monter la tente avant 18h). Magique. Uyuni lieu hautement touristique où l'on rencontre beaucoup de cyclo voyageurs.

De Uyuni à San Pedro De Atacama (Chili) par Ollague Pour aller à Jullaca, la piste de ripio coupe à plusieurs reprises une voie de chemin de fer puis San Juan. La caserne militaire Chicana, seule au milieu de rien est providentielle pour dormir au chaud et à l'abri du vent. Nourris et blanchis par l'état bolivien. Arrivés à Ollague, le salar continue, l'altiplano aussi mais nous quittons la Bolivie pour le Chili.